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Présentation
World Liberty Financial, Inc., inspirée par la vision de Donald J. Trump, vise à inaugurer une nouvelle ère de finance décentralisée (DeFi), avec pour mission de démocratiser les opportunités financières et de renforcer la position mondiale du dollar grâce à un stablecoin adossé au dollar et à des applications DeFi.
Max Keiser, conseiller du président du Salvador, a critiqué l’accent mis par les États-Unis sur la « crypto » plutôt que sur le bitcoin, affirmant qu’il n’y avait « qu’un seul pays bitcoin ». Ces commentaires font suite aux données de Polymarket montrant que les démocrates étaient favoris pour remporter la Chambre en 2026. Trump continue de faire pression pour obtenir le statut de « superpuissance crypto » des États-Unis, malgré l’examen minutieux des 800 millions de dollars de revenus de capital-risque de sa famille. Max Keiser, conseiller principal du président du Salvador Nayib Bukele, s’en est pris aux politiques pro-Bitcoin du président américain Donald Trump, dénonçant la montée des « shitcoins » et les priorités mal placées dans l’industrie de la cryptographie. Keiser a écrit qu’« il n’y a qu’un seul pays Bitcoin », soulignant la stratégie antérieure et plus propre du Salvador en matière de BTC, et a déclaré que les efforts des États-Unis sont maintenant ce qui se passe « lorsque les shitcoiners dirigent la table pendant trop longtemps ». Cela met en place un conflit entre le modèle BTC d’un État-nation et le modèle crypto de campagne de Trump. We’ll look some day and regret TrumpCoin was floated. We’ll regret ‘Crypto’ gained traction instead of Bitcoin only. In other words, the shitcoiners brought this on themselves. There is only one BITCOIN COUNTRY 🇸🇻 See For Yourself 👉 https://t.co/StQ6nMPyLD https://t.co/yQVaMaRprr — Max Keiser (@maxkeiser) November 5, 2025 Le conseiller de Bukele a qualifié l’achat de bitcoins par le président Trump par l’intermédiaire de Trump Media de manœuvre égoïste et l’a appelé « La grande bifurcation », ce qui implique essentiellement que Trump se remplit les poches au nom de la crypto. À lire également : Des experts en éthique mettent en garde contre les opérations cryptographiques « légales mais douteuses » de Trump Keiser utilise les cotes du polymarché pour faire allusion à un prochain changement de politique Keiser a partagé une capture d’écran de Polymarket montrant que les démocrates à 71 % et les républicains à 30 % remporteraient la Chambre en 2026, notant qu’une Chambre démocrate apporterait probablement un ton différent à l’application des cryptomonnaies. L’image montrait que les démocrates cessaient à la hausse au début du mois de novembre tandis que les chances du GOP chutaient fortement, suggérant que les traders s’attendent à ce que les républicains perdent leur influence politique. En liant ce graphique à sa ligne « un seul pays Bitcoin », Keiser a laissé entendre que la position crypto des États-Unis est fragile et liée à des cycles politiques courts, contrairement à la loi BTC du Salvador, qui progresse déjà. Pour les traders, le message est que la convivialité des crypto-monnaies aux États-Unis peut être rejetée. Source : @Polymarket Trump vend une Amérique du bitcoin et de l’IA, pas un État CBDC S’exprimant lors de l’America Business Forum à Miami, Trump a remercié son administration d’être à l’origine de la nouvelle direction américaine en matière de cryptomonnaies. Il a affirmé avoir mis fin à ce qu’il a appelé la « guerre contre la crypto », se vantant de décrets historiques qui avaient ouvert la voie à l’innovation. Trump a positionné les États-Unis à la fois comme une puissance du bitcoin et de l’IA, déclarant : « Nous faisons des États-Unis la superpuissance du bitcoin, la capitale mondiale de la crypto-monnaie. » À lire également : Trump maintient qu’il ne connaît pas Binance CZ malgré son octroi d’une grâce Il a établi un contraste frappant avec l’approche de l’administration Biden, qui consiste à faire appliquer la loi, en liant ses politiques à la stabilité du dollar et à la participation du secteur privé. Trump a déclaré que la domination des États-Unis sur les cryptomonnaies était une nécessité géopolitique, avertissant que la Chine et d’autres nations se rapprochaient déjà. Les lignes de politique et de profit s’estompent autour de la marque Trump Selon une enquête de Reuters, les Trump ont gagné plus de 800 millions de dollars grâce à des entreprises liées aux crypto-monnaies au cours du seul premier semestre 2025, une grande partie des revenus provenant de la vente de jetons World Liberty Financial (WLFI), un projet dirigé par Eric et Donald Trump Jr. La tournée mondiale des investisseurs de la famille, qui s’étend à Dubaï, en Europe et en Asie, aurait attiré des capitaux étrangers, notamment un achat de jetons de 100 millions de dollars par une entité basée à Abu Dhabi liée à un homme d’affaires chinois faisant l’objet d’une enquête pour blanchiment d’argent. Les analystes affirment que cet entrelacement de la politique et du profit brouille la frontière entre la fonction publique et le gain privé, même si Trump continue de faire pression pour l’adoption des crypto-monnaies. À lire également : La Chine prolonge la suspension tarifaire de 24 % pendant un an, la crypto bénéficie d’un vent arrière macroéconomique Disclaimer: The information presented in this article is for informational and educational purposes only. The article does not constitute financial advice or advice of any kind. Coin Edition is not responsible for any losses incurred as a result of the utilization of content, products, or services mentioned. Readers are advised to exercise caution before taking any action related to the company.
Foresight News rapporte que World Liberty Financial a publié un article indiquant que le projet a acquis une partie des tokens USD1 en tant que réserve stratégique, dans le but de promouvoir l'adoption de USD1 sur la blockchain Solana.
Ce qui s'annonce comme le plus long shutdown gouvernemental de l'histoire des États-Unis a très probablement mis fin à l'enquête de la Securities and Exchange Commission sur la question de savoir si les trésoreries crypto cotées en bourse ont commis des actes pouvant être interprétés comme du délit d'initié. Mais une fois que le gouvernement rouvrira, plusieurs anciens avocats de la SEC affirment que l'agence de régulation reprendra presque certainement son enquête, ce qui pourrait éventuellement conduire le régulateur à émettre des assignations à comparaître dans un délai d'un à deux mois si l'enquête s'intensifie en investigations à part entière. « Si les transactions sont suspectes et qu'il existe une forte relation entre un initié d'entreprise — qui détenait des informations importantes et non publiques — et une personne ayant effectué des transactions sur la base de ces informations, cela peut suffire pour une assignation à comparaître », a déclaré David Chase, ancien avocat chargé de l'application des lois à la SEC, aujourd'hui avocat de la défense, à The Block. Fin septembre, environ une semaine avant le début du shutdown du gouvernement américain, The Wall Street Journal a rapporté que la SEC et la Financial Industry Regulatory Authority (FINRA) avaient contacté plusieurs sociétés cotées en bourse, qui avaient adopté plus tôt cette année de nouvelles stratégies commerciales consistant à acheter des crypto, avec des questions sur des schémas irréguliers de volume de transactions et de mouvements de prix des actions qui auraient pu se produire quelques jours avant que des informations cruciales sur l'entreprise ne soient rendues publiques. Les responsables de la SEC ont spécifiquement averti les entreprises des violations potentielles du Regulation Fair Disclosure, selon le WSJ. Ce règlement interdit strictement aux sociétés cotées de divulguer des informations importantes et non publiques à des personnes susceptibles d'utiliser ces renseignements pour prendre des décisions de trading sur les actions. « La SEC et la FINRA ne commencent pas nécessairement en disant qu'il s'agit d'une affaire de délit d'initié », a déclaré Howard Fischer, ancien conseiller principal en procès à la SEC, à The Block. « Ils disent : ‘Regardons cela de plus près car il semble qu'avant que l'information ne soit rendue publique, concernant l'adoption d'une stratégie de trésorerie en actifs numériques, il y ait eu des transactions anormales sur les actions de cette société.’ » Outre les trésoreries en Bitcoin et Ethereum (DATs), les deux crypto-monnaies les plus populaires parmi les trésoreries, plusieurs sociétés cotées en bourse ont également décidé d'accumuler de grandes quantités de différents altcoins. Jusqu'à présent, des milliards de dollars ont été investis dans les DATs. Enquête de la SEC gelée avec effectif réduit Pour l'instant, ni la SEC ni la FINRA ne font de déclaration. La FINRA, qui est une organisation d'autorégulation rédigeant et appliquant les règles pour les courtiers enregistrés, fonctionne à plein régime pendant le shutdown gouvernemental. Les SRO ne font pas partie du gouvernement fédéral et sont financées par leurs membres régulés, selon le régulateur. La FINRA a refusé de commenter lorsqu'on l'a interrogée sur l'enquête. Dans le cas de la SEC, avec moins de 10 % de son personnel actuellement au travail, l'enquête de l'agence sur les trésoreries crypto est très probablement à l'arrêt, car la plupart des employés travaillant sur les enquêtes ont probablement été mis en congé sans solde. Pendant le shutdown, qui a commencé le 1er octobre, la SEC fonctionne selon un plan d'agence, a indiqué un porte-parole à The Block. La SEC peut répondre aux urgences liées soit à la sécurité de la vie humaine, soit à la protection des biens. La plupart des gens s'attendent à ce que l'impasse entre Républicains et Démocrates finisse par se terminer et que le gouvernement américain soit autorisé à rouvrir, avec le retour des employés au travail. À la SEC, cela signifie probablement que les avocats, comptables et autres spécialistes des enquêtes reprendront là où ils s'étaient arrêtés avant le shutdown. Réponses aux lettres de la SEC importantes Selon d'anciens avocats de la SEC, le fait que des assignations à comparaître soient finalement envoyées ou non une fois le gouvernement rouvert dépendra beaucoup de la façon dont les différentes parties ayant reçu des lettres choisiront de répondre aux régulateurs. L'agence pourrait également envoyer des demandes d'informations volontaires, ce que Fischer affirme être plus fréquent maintenant que sous l'administration Biden précédente. Les demandes d'informations volontaires sont celles où la SEC demande des documents lors d'une enquête. Bien que ces demandes ne soient pas juridiquement contraignantes, si les parties contactées refusent, cette réponse peut déclencher une assignation à comparaître. Kris Swiatek, associé chez Seward Kissel LLP, spécialisé dans les actifs numériques, a déclaré à The Block que la façon dont les entreprises répondent aux premières demandes jouera un rôle majeur dans la décision de la SEC de poursuivre ou non l'action et d'émettre des assignations à comparaître. « Chaque émetteur public, et toutes les parties qui leur sont liées dans le cadre des accords conclus, sera examiné individuellement au final », a déclaré Swiatek. Chase a déclaré que la SEC voudra établir une chronologie. « Ils envoient ce qu'on appelle une lettre de chronologie, qui consiste essentiellement à savoir qui savait quoi et quand dans l'entreprise en ce qui concerne les informations importantes et non publiques », a-t-il expliqué. Et qui pourrait faire face à des allégations de délit d'initié ? « Cela pourrait être des initiés de l'entreprise. Cela pourrait être des personnes extérieures à l'entreprise. Cela pourrait être des personnes sollicitées pour financer ces transactions. Il y a tout un éventail de personnes que la SEC pourrait examiner », a déclaré Fischer. Indépendamment des réponses et des assignations, au moins un ancien avocat de la SEC a déclaré que les données existantes pourraient suffire à lancer une véritable enquête. « S'il s'agissait d'une véritable enquête pour délit d'initié qu'ils voulaient poursuivre, ils pourraient faire beaucoup de progrès simplement sur la base des informations de marché », a déclaré un ancien avocat de la SEC à The Block. Fischer a déclaré que, bien qu'il ne soit pas clair exactement ce que les régulateurs examinent, ils analysent probablement l'activité du marché. « Si vous regardez un graphique du volume quotidien moyen avant qu'ils n'annoncent ce type d'activité, il y a un énorme pic… donc, clairement, quelqu'un savait ce qui allait se passer ou l'a prédit sur la base d'autres informations et a acheté les titres en prévision de ce mouvement de marché », a-t-il déclaré. Chase a déclaré que si des assignations sont émises, la SEC demandera probablement à voir les communications téléphoniques, emails, SMS et sur les réseaux sociaux. Ensuite, après avoir recueilli les témoignages, la SEC déterminerait probablement s'il y a suffisamment de preuves pour aller de l'avant avec une recommandation de poursuites et l'émission d'un avis Wells. Cet avis est une forme de communication du personnel de la SEC qui informe une entreprise que le personnel de l'agence pourrait recommander une action d'exécution contre elle. Les trésoreries crypto, une « zone à risque » Bien que le phénomène DAT soit récent, le fait que la SEC scrute les entreprises crypto et les individus travaillant dans la crypto n'a rien de nouveau. En 2023, la SEC a poursuivi Terraform Labs et Do Kwon pour fraude sur titres. Coinbase et Binance ont également été ciblés. La SEC a finalement conclu un accord avec Terraform et a ensuite abandonné les affaires contre Coinbase et Binance. La SEC a également intenté une action en justice contre le projet crypto Unicoin pour avoir prétendument offert des certificats de droits frauduleux aux investisseurs de sa cryptocurrency et de ses actions ordinaires. Ce procès est toujours en cours. Depuis l'arrivée au pouvoir du président Trump, cependant, le traitement des organisations crypto par le gouvernement américain, y compris la SEC, a été sensiblement différent, les dirigeants d'actifs numériques saluant une administration apparemment pro-crypto. « Les régulateurs se sont certainement rapprochés de la crypto sous cette nouvelle administration », a déclaré Swiatek, ajoutant que cette enquête de la SEC pourrait être le premier cas où l'agence remet en question le comportement des entreprises opérant dans le secteur des actifs numériques lors du second mandat de Trump. « C'est en quelque sorte l'un des premiers signes nouveaux de ‘Regardez, il se passe quelque chose ici que nous devons examiner.’ C'est une dynamique intéressante », a-t-il déclaré. David Namdar, PDG de la crypto treasury BNB Network cotée au Nasdaq, qui détient plus de 450 millions de dollars en tokens BNB, estime que certaines personnes dans la crypto doivent s'habituer à une nouvelle forme, plus régulée, de faire des affaires. « À mesure que les mondes des actifs numériques et du capital-risque croisent davantage les marchés publics, il y a une courbe d'apprentissage sur la manière dont les informations importantes doivent être contrôlées », a-t-il déclaré à The Block. « Un problème dans certains accords du secteur a été ce que les gens décrivent comme des fuites d'informations, liées à des situations où des acteurs malveillants ont partagé des éléments d'information concernant une transaction potentielle, entraînant des rumeurs de marché sur des transactions en attente avant les dépôts officiels. » Namdar a déclaré qu'à sa connaissance, BNB Network, officiellement nommée CEA Industries Inc., « ne fait pas partie des entreprises faisant l'objet d'enquêtes approfondies de la part de la SEC ou de la FINRA ». Sujet sensible en raison des liens de Trump avec les DATs Un avocat d'une grande société de capital-risque crypto a averti que le boom des trésoreries en actifs numériques pourrait finir par représenter une « zone à risque » considérable pour l'industrie des actifs numériques si les DATs contractent trop de dettes pour acheter de la crypto. Mais l'avocat a également déclaré que certains observateurs craignent que l'examen des DATs par la SEC ne révèle une activité irrégulière au sein d'une organisation liée à la famille Trump. « Sur les DATs, il y a une certaine crainte concernant la famille Trump », a déclaré la personne, ajoutant que la surveillance des DATs est un « sujet sensible » en raison des liens étroits du président avec les trésoreries crypto. Bien qu'il n'y ait aucune preuve que les Trump aient commis une quelconque infraction ou que la SEC enquête sur des entreprises liées au président, Trump est lié à plus d'un DAT, notamment ALT5 Sigma Corporation, cotée au Nasdaq, qui détient une réserve de tokens WLFI, la crypto-monnaie native de World Liberty Financial, un projet DeFi soutenu par Trump. Trump Media Technology Group Corp., la société derrière Truth Social, détenue par Trump, a également adopté une stratégie de trésorerie crypto. Trump Media est également cotée au Nasdaq. ALT5 Sigma et Trump Media n'ont pas immédiatement répondu à une demande de commentaire. L'avocat, cependant, se réjouit que la SEC tente de faire la lumière sur d'éventuels actes répréhensibles, indépendamment du caractère crypto-friendly du gouvernement Trump. « C'est ce que la SEC devrait faire. On veut qu'ils se concentrent réellement sur les domaines émergents où il y a une explosion d'activité et des échanges interpersonnels douteux », ont-ils déclaré. « C'est ce que nous attendrions de la SEC si nous voulons que la crypto fonctionne bien. »
Obama a critiqué l’implication du président Trump dans les cryptomonnaies. L’ancien président pense que Trump enrichit délibérément sa famille. Les membres de la famille Trump possèdent plus de la moitié de World Liberty Financial. L’ancien président américain Barack Obama a critiqué Donald Trump pour son implication dans la crypto-monnaie. S’exprimant lors d’un rassemblement samedi en soutien à la candidate démocrate au poste de gouverneur de Virginie, Abigail Spanberger, Obama a accusé le président Trump de donner la priorité à ses « amis milliardaires et à ses frères de la finance » par le biais de transactions de crypto-monnaies. Obama a fait pression sur Trump sur l’implication de la famille dans les crypto-monnaies Obama, qui a critiqué le président sur plusieurs sujets, a allégué que Trump développait l’entreprise crypto de sa famille sans s’attaquer à l’économie générale des États-Unis. Il a demandé à ses auditeurs si l’économie fonctionnait pour eux, leur assurant que les choses s’étaient améliorées pour la famille Trump. Selon l’ancien président, il n’y a eu que des tours et pas de friandises sous l’administration Trump, chaque jour ressemblant à Halloween. Bien qu’il ait affirmé qu’il l’avait vu venir, Obama a déclaré aux participants au rassemblement que les choses étaient pires que ce à quoi il s’attendait sous le gouvernement actuel. Il convient de noter que les critiques d’Obama à l’égard de l’implication du président Trump dans les crypto-monnaies visaient l’entreprise crypto de la famille de ce dernier. Selon les rapports , les membres de la famille Trump, par l’intermédiaire d’une société faîtière, possèdent plus de la moitié de l’entreprise de crypto-monnaie World Liberty Financial , qui aurait généré des centaines de millions de dollars pour eux. Une attaque au-delà de la participation aux cryptomonnaies Obama a fait référence aux affirmations ci-dessus, ajoutant que la famille Trump bénéficie de ressortissants étrangers et de riches individus qui investissent parce qu’ils veulent rester dans les bonnes grâces du président. Implacable dans son attaque, l’ancien président a poursuivi en critiquant Trump pour sa salle de bal de 300 millions de dollars, y compris le pavage de la roseraie de la Maison Blanche. En attendant, Obama pense que le président Trump est déterminé à distraire les électeurs américains par ses messages sur les réseaux sociaux. Il a cité certains de ces messages, y compris quelques vidéos générées par l’IA qui dépeignent la suprématie du président. Selon Obama, l’équipe Trump publie de tels messages pour que les électeurs ne remarquent pas qu’ils aident les personnes les plus riches et les plus puissantes du pays à consolider plus de richesse et de pouvoir, alors que les factures du peuple continuent d’augmenter. Articles connexes : Le jeton WLFI bondit de 14 % alors que le marché lie la hausse des prix à la grâce de Trump à CZ Disclaimer: The information presented in this article is for informational and educational purposes only. The article does not constitute financial advice or advice of any kind. Coin Edition is not responsible for any losses incurred as a result of the utilization of content, products, or services mentioned. Readers are advised to exercise caution before taking any action related to the company.
Points clés à retenir Reuters estime que les entreprises liées à Trump ont généré 802 millions de dollars en crypto au début de 2025. Les revenus proviennent des tokens WLFI, du memecoin TRUMP et des rendements du stablecoin USD1. L’accord avec Alt5 Sigma et les acheteurs étrangers ont aidé à convertir la valeur des tokens en liquidités. Alors que l’application de la réglementation crypto aux États-Unis s’est assouplie, des experts ont souligné d’éventuels conflits d’intérêts. Au premier semestre 2025, les entreprises liées à Trump ont enregistré environ 802 millions de dollars de revenus en crypto, principalement issus des ventes de tokens World Liberty Financial (WLFI) et du memecoin officiel Trump (TRUMP), éclipsant les revenus du golf, des licences et de l’immobilier. L’enquête de Reuters et ses documents méthodologiques détaillent l’origine des fonds et la manière dont ils ont été comptabilisés. Ce guide explique les mécanismes, les acheteurs et le contexte politique sans exagération. Qu’est-ce que World Liberty Financial ? WLFI a été lancé fin 2024 comme un projet centré sur un token, lié à la famille Trump. Son token de gouvernance, WLFI, offre des droits limités aux détenteurs par rapport aux modèles traditionnels de gouvernance de la finance décentralisée (DeFi). L’avocat de la société affirme que le token a une « véritable utilité ». Le modèle de monétisation principal est simple. Une filiale de Trump Organization a droit à 75 % des revenus des ventes de tokens après déduction des frais, selon le « Gold Paper » de WLFI. Reuters s’est basé sur ce document pour établir son modèle de revenus. Au premier semestre 2025, Reuters estime que les ventes de tokens WLFI ont été la principale source de liquidités, représentant la majeure partie du gain crypto de la famille. L’accord Alt5 Sigma En août 2025, WLFI a conclu un accord au Nasdaq dans lequel Alt5 Sigma a levé plusieurs centaines de millions de dollars pour acheter des tokens WLFI. Cette opération a constitué un catalyseur majeur de la demande et a permis de convertir une partie de la valeur théorique en liquidités réalisées pour les entités contrôlées par Trump. Des reportages distincts en août ont exposé un plan plus large pour une stratégie de « trésorerie » WLFI de 1,5 milliard de dollars liée à Alt5. Le plan visait à détenir une part significative de l’offre de tokens, des détails qui aident à expliquer l’ampleur des flux vers WLFI. Comment le memecoin TRUMP a généré des liquidités Le coin TRUMP a été lancé le 17 janvier 2025, et ses créateurs ont perçu une part des frais de trading sur Meteora, la plateforme où il a été initialement coté. En deux semaines, des sociétés d’analyse onchain citées par Reuters ont estimé les frais entre 86 millions et 100 millions de dollars, principalement sur Meteora. Dans son analyse du premier semestre 2025, le média a modélisé environ 672 millions de dollars de ventes de coins et, en appliquant une hypothèse prudente de 50 % de part, a attribué environ 336 millions de dollars aux intérêts liés à Trump. La méthodologie reconnaît une incertitude, car la propriété et la répartition des frais ne sont pas entièrement divulguées. Qui a acheté les tokens ? La plupart des acheteurs de WLFI sont des adresses de portefeuilles pseudonymes, mais l’enquête a identifié plusieurs participants de haut niveau et une demande étrangère concentrée. L’enquête met en avant l’achat de 100 millions de dollars de WLFI par la Aqua1 Foundation et rapporte qu’Eric Trump et Donald Trump Jr. ont participé à une tournée mondiale de promotion du token auprès des investisseurs. L’examen note également que parmi les principaux acheteurs identifiables figurent des investisseurs étrangers. Bien que l’attribution reste probabiliste, la participation étrangère parmi les grands détenteurs de WLFI semble significative. Le stablecoin USD1 (et son flux d’intérêts) WLFI promeut également USD1, un stablecoin indexé sur le dollar et adossé à des réserves en cash et en bons du Trésor américain, avec une conservation assurée par BitGo. Reuters rapporte que les réserves soutenant USD1 génèrent un taux d’intérêt annuel estimé à 80 millions de dollars aux rendements actuels, et note qu’une partie de ces intérêts revient à une société détenue à 38 % par Trump Organization, bien que le montant effectivement réalisé pour 2025 reste non spécifié. En mai 2025, MGX, soutenu par Abu Dhabi, a annoncé un investissement de 2 milliards de dollars dans Binance, qui, selon les rapports et les déclarations publiques de WLFI, devait être réglé en USD1. Cet accord constitue un exemple phare de la manière dont le stablecoin de WLFI est positionné pour faciliter des transactions de très grande envergure. Comment Reuters est arrivé à « 802 millions de dollars » Parce qu’une grande partie de l’empire commercial de Trump est privée, Reuters a combiné des déclarations présidentielles, des registres fonciers, des documents financiers publiés par les tribunaux et des données de transactions onchain. L’agence a ensuite appliqué des hypothèses explicites, telles que la part de 75 % des revenus pour les ventes de tokens WLFI et une part de 50 % pour TRUMP, qui ont été examinées par des universitaires et des experts-comptables agréés. La conclusion du média est que près de 802 millions de dollars des revenus de la famille Trump au premier semestre 2025 proviennent de projets crypto, contre seulement 62 millions de dollars issus de leurs activités traditionnelles. Le saviez-vous ? WLFI conteste certaines parties de l’analyse de Reuters, arguant que son modèle de revenus a été trop simplifié, que les données des portefeuilles ont été mal interprétées et que l’utilité réelle du projet a été négligée. Le contexte politique (et la question du conflit d’intérêts) Depuis janvier 2025, la posture des autorités américaines envers la crypto a évolué. Le ministère de la Justice a dissous son National Cryptocurrency Enforcement Team et réduit ses priorités, tandis que la Securities and Exchange Commission a abandonné ou suspendu plusieurs affaires très médiatisées, dont sa demande de rejet contre Coinbase et la fin des poursuites contre d’autres grandes entreprises. Des experts en éthique ont déclaré à Reuters qu’un président en exercice supervisant la politique crypto alors que sa famille tire d’importants revenus de la crypto représente un nouveau type de conflit d’intérêts, même si cela n’est pas illégal. La Maison Blanche et les représentants de l’entreprise ont nié tout acte répréhensible. Résultats et contexte général En résumé, ce qui ressemble à une « ruée vers l’or » de 800 millions de dollars est, en réalité, un mélange de ventes de tokens portées par la marque, de mécanismes de memecoin générant d’importants frais, d’une opération de trésorerie à grande vitesse et d’un stablecoin générant des rendements. Les totaux proviennent de répartitions documentées et de flux modélisés. La controverse, cependant, porte sur l’identité des acheteurs, la transparence des projets et l’évolution de la politique américaine à mesure que les fonds affluaient. Pour quiconque suit la politique crypto, cette histoire sert désormais d’étude de cas en temps réel sur les incitations, la transparence et les risques de gouvernance.
Trump, surnommé "l’Expert", a encore une fois offert un "spectacle de grâce présidentielle" plus palpitant qu’un scénario hollywoodien, avec un effet dramatique maximal. D’un côté, il déclare à la télévision "Je ne sais pas qui il est", et de l’autre, il vient à la rescousse du "joueur numéro un" du monde crypto, CZ (Changpeng Zhao). Ce coup de maître, seul Trump pouvait le réussir ; n’importe qui d’autre aurait eu du mal à s’en sortir. Voyons maintenant, en fusionnant les détails brûlants et les points clés, quels échanges politico-économiques et quels bouleversements de pouvoir dans le monde crypto se cachent derrière cette affaire de "grâce présidentielle de CZ". Acte I : Les "comptes flous" du Président — Les révélations clés dans « 60 Minutes » La prise de distance de Trump : "Je ne sais pas qui il est" L’ancien président américain Trump, lors d’une récente interview dans l’émission « 60 Minutes », a donné une réponse particulièrement théâtrale à la question incisive de la présentatrice Norah O'Donnell concernant la grâce accordée à CZ, le fondateur de Binance : « Je ne sais pas qui il est. » Évitement de la raison de la grâce : Lorsqu’on lui demande pourquoi il a gracié ce géant de la crypto accusé par le gouvernement d’« avoir causé de graves dommages à la sécurité nationale américaine » (notamment pour transfert de fonds à des organisations terroristes), Trump se défausse, affirmant ne savoir que CZ a été condamné à environ 4 mois de prison, et rejette la faute de la condamnation de CZ sur la "chasse aux sorcières politique" du gouvernement Biden. Question directe sur un échange d’intérêts : Norah O'Donnell insiste et pose la question centrale : « Après que Binance a aidé à finaliser une transaction d’achat de 2 milliards de dollars de stablecoins WLFI en 2025, vous avez immédiatement gracié CZ. Que répondez-vous aux soupçons d’échange d’intérêts ? » La réponse passe-partout de Trump : Trump continue d’esquiver, affirmant qu’il « n’en sait rien, car il était occupé à d’autres affaires ». Cependant, il souligne que son fils participe à l’industrie crypto et loue « la crypto comme une bonne industrie », tout en précisant qu’ils s’occupent de business et non d’affaires gouvernementales. Acte II : Le cœur de l’affaire — Pourquoi gracier soudainement CZ ? Le 24 octobre 2025, Trump use de son privilège présidentiel de « droit de grâce » pour effacer d’un trait les condamnations fédérales de CZ pour violation des lois anti-blanchiment. Ce n’est pas seulement une « carte d’immunité » personnelle pour CZ , mais cela élimine aussi le plus gros fardeau historique de Binance pour son expansion sur le marché américain sous l’administration Trump. CZ a ensuite remercié publiquement et déclaré qu’il « aiderait pleinement les États-Unis à devenir la capitale mondiale de la crypto-monnaie ». Trois perspectives pour analyser en profondeur la grâce présidentielle Perspective Point clé Détails associés Échange politique et commercial La grâce n’est pas une simple « faveur extrajudiciaire », mais un échange potentiel entre « grâce politique » et « soutien commercial ». Avant la grâce, Binance était déjà étroitement liée à l’entreprise crypto WLF de la famille Trump, l’aidant à investir jusqu’à 2 milliards de dollars en USD1 (stablecoin WLF) sur Binance. Plus « coïncidence » encore, la SEC a annulé peu après l’approbation de la cotation de l’USD1, les poursuites clés contre Binance. La "stratégie crypto" de Trump Changement d’attitude à 180 degrés : de sceptique à la construction active de l’image du « président crypto ». Le moteur principal est la politique des votes. Des dizaines de millions de détenteurs de crypto aux États-Unis forment un nouveau groupe d’électeurs jeunes à ne pas négliger. En graciant CZ et en appelant à la création de réserves de bitcoin, Trump vise à capter ce soutien politique. Tournant pour l’industrie Les grandes entreprises passent de la « liste noire réglementaire » à « acteurs institutionnels » : l’industrie atteint sa « majorité ». La grâce symbolise la fin de la croissance sauvage de l’industrie crypto, qui entre dans une phase de conformité sous la tutelle du pouvoir. Les règles du jeu seront plus strictes, mais attireront aussi davantage de capitaux traditionnels. Acte III : Impact sur le marché et perspectives futures 1. Les « vieilles nouvelles » de Caixin et les signaux stratégiques Le média de référence Caixin a publié, juste après la grâce, un dossier sur CZ dans lequel il recommande à la Chine de « sérieusement envisager d’émettre un stablecoin en RMB ». Bien que CZ ait ensuite précisé que l’interview avait eu lieu avant la grâce, le timing et le contenu de la publication ont été largement interprétés par le marché comme un signal stratégique délibérément envoyé par Binance. 2. Cibler le marché oriental : l’ambition stratégique de Binance Après avoir obtenu la « grâce » américaine, la stratégie de Binance est claire : accélérer son retour sur les marchés orientaux. Dans l’interview, CZ souligne que les RWA (actifs du monde réel) seront le champ de bataille clé du futur. Compte tenu de la vaste base d’utilisateurs potentiels en Chine continentale, Binance prévoit de s’implanter progressivement dans un cadre conforme, via des coopérations technologiques et le développement de produits crypto indexés sur le RMB. 3. Impact sur le marché : le risque politique entre en jeu La grâce présidentielle a catalysé l’afflux de capitaux, le volume et le prix du BNB ayant rapidement grimpé à court terme, créant une dynamique de « hausse et chute rapide » dictée par la politique. Mais à long terme, si la grâce a effacé les antécédents de CZ, elle a aussi introduit une nouvelle variable d’« incertitude politique » pour les actifs crypto. Les événements géopolitiques remplacent désormais les fondamentaux comme facteur principal de l’évolution de certains actifs. Le jeu sectoriel est devenu un échiquier à trois dimensions « technologie-régulation-politique », où le risque politique devient une variable stratégique centrale à ne pas négliger. Conclusion : Un coup de maître, respect Cette affaire de grâce présidentielle est un véritable « drame politico-économique » en direct. Trump parvient à se dédouaner des soupçons d’échange d’intérêts d’un simple « je ne sais pas », tout en récoltant les dividendes électoraux de son image de « président crypto ». CZ et Binance, quant à eux, profitent de cette grâce politique pour se débarrasser de leur plus lourd fardeau historique et, portés par le « vent d’Est » des 2 milliards de dollars, relancent leur expansion mondiale, notamment sur les marchés orientaux. Un coup de maître, respect. Que pensez-vous de la réponse « je ne sais pas » de Trump ?
Les médias américains Reuters et Common Dreams examinent les entreprises cryptographiques de 800 millions de dollars de Trump Reuters rapporte que la famille Trump a gagné plus de 800 millions de dollars en 2025, en grande partie grâce aux ventes de jetons WLFI Les experts en éthique avertissent que les entreprises sont « légales mais douteuses » et soulèvent des problèmes de conflit d’intérêts Les principales agences de presse ont examiné cette semaine la croissance rapide de l’empreinte crypto de Donald Trump, faisant état d’importants revenus de jetons, d’investisseurs étrangers et de nouvelles entreprises qui testent la ligne entre le pouvoir politique et le profit privé. Des rapports de Reuters et de Common Dreams suggèrent que l’empire commercial de la famille Trump est devenu de plus en plus dépendant des actifs numériques, ce qui soulève des questions sur la transparence, la gouvernance et les conflits d’intérêts potentiels. Une enquête de Reuters publiée le 28 octobre a révélé que la famille Trump a gagné plus de 800 millions de dollars grâce à des entreprises liées aux crypto-monnaies en 2025. Une grande partie de ces revenus provenait de la vente de jetons World Liberty (WLFI), un actif numérique commercialisé par Donald Trump Jr. et Eric Trump. À lire également : Trump appelle Powell « trop tard » et demande une baisse des taux lors du sommet de l’APEC Les autres projets comprennent une pièce de monnaie mème, TRUMP. Les jetons ont été présentés dans le cadre d’un plan visant à construire un écosystème financier mondial, bien que la technologie de base reste largement non testée. Bien que le rapport de Reuters n’ait pas allégué d’illégalité, il a noté que de nombreux jetons WLFI ont été vendus à des acheteurs étrangers par le biais de portefeuilles de crypto-monnaies à la traçabilité limitée. Les analystes interrogés par le média ont déclaré que le manque de transparence et le chevauchement entre la politique et l’entreprise privée soulevaient des problèmes de gouvernance. Investisseurs étrangers et surveillance limitée L’enquête a révélé qu’une grande partie des achats de jetons WLFI provenaient d’investisseurs étrangers. Parmi les 50 premiers détenteurs, plus des deux tiers seraient basés à l’étranger, possédant collectivement plus de 800 millions de dollars de jetons. Cette forte participation étrangère a conduit les analystes à se demander si les intérêts financiers étrangers pourraient indirectement obtenir un effet de levier par le biais d’actifs liés à Trump. « Légal mais discutable », disent les critiques Bien que les représentants de la famille Trump aient défendu l’entreprise comme un projet commercial légitime, les experts l’ont décrite comme une entreprise « légale mais éthiquement discutable » en raison de sa structure favorisant les profits d’initiés. Les activités de World Liberty atteignent également le marché des stablecoins via un actif numérique appelé USD1, géré par une entité affiliée qui partage les bénéfices avec les opérations liées à Trump. Dans un cas mis en évidence, une entreprise a utilisé 1 USD pour acheter une participation de 2 milliards de dollars dans Binance, créant ainsi un lien indirect entre l’écosystème de Trump et la plus grande bourse de crypto-monnaies au monde. Ces liens suggèrent que World Liberty est en train d’évoluer vers un réseau mondial qui pourrait défier les normes de transparence financière existantes et les lois américaines sur l’éthique. Prédiction Les marchés viennent à la vérité Social Dans un rapport séparé, Common Dreams a détaillé les plans d’une nouvelle plate-forme de paris numériques, « Truth Predict », qui devrait être lancée au sein du réseau Truth Social, propriété de Trump. La plateforme, en partenariat avec Crypto.com, permettra aux utilisateurs de placer des paris sur des événements politiques, économiques et sportifs en utilisant la crypto-monnaie. Les partisans appellent cela une fusion audacieuse des médias sociaux et de la finance décentralisée. Cependant, les critiques affirment qu’il s’agit d’un grave conflit d’intérêts, en particulier si Trump ou ses alliés peuvent influencer les événements sur lesquels ils parient. Le projet, préviennent-ils, risque de transformer les développements politiques en instruments financiers spéculatifs. L’écrivain Mike Masnick a noté que le fait d’autoriser les paris sur des événements contrôlés par un président en exercice ou un ancien président introduit des « problèmes de conflit d’intérêts sans précédent ». Donald Trump Jr. semble également profondément ancré dans la scène du marché des prédictions, occupant des postes de conseil sur des plateformes comme Kalshi et Polymarket. Sa société de capital-risque serait un investisseur dans Polymarket lui-même. Ces rôles qui se chevauchent ont soulevé des inquiétudes quant au fait que la famille Trump pourrait profiter personnellement des tendances du marché façonnées par leurs propres messages politiques. Préoccupations éthiques et réglementaires Les experts en éthique ont averti que les jetons et les plateformes liés à Trump créent des possibilités potentielles de corruption et de favoritisme. Les investisseurs qui achètent WLFI ou participent à Truth Predict pourraient supposer qu’ils obtiendront des avantages si Trump ou ses alliés reviennent au pouvoir. Cette perception, notent les analystes, souligne la nécessité de frontières plus claires entre l’influence politique et l’entreprise privée. À lire également : Voici comment CZ a réagi après que la grâce de Trump a déclenché une réaction violente à Washington Les organismes de réglementation pourraient bientôt être contraints d’intervenir. La combinaison du trading de cryptomonnaies, des marchés de prédiction et de l’image de marque politique tombe dans une zone grise de la loi américaine. Les observateurs juridiques suggèrent que de futures enquêtes pourraient tester la portée des réglementations sur les valeurs mobilières, les jeux d’argent et le financement des campagnes dans cette nouvelle frontière numérique. Disclaimer: The information presented in this article is for informational and educational purposes only. The article does not constitute financial advice or advice of any kind. Coin Edition is not responsible for any losses incurred as a result of the utilization of content, products, or services mentioned. Readers are advised to exercise caution before taking any action related to the company.
La situation reste complexe pour les cryptomonnaies. Malgré une nouvelle baisse de taux par la FED de 0,25 bps, les marchés financiers ne réagissent pas, bien que son discours laisser penser un pivot implicite vers une phase de Quantitative Easing. Bitcoin oscille toujours autour des 110 000 dollars pendant qu’ethereum se retrouve une nouvelle fois sous les 4 000 dollars. Ce jeudi 30 octobre se tiendra le sommet en Corée du Sud où se rencontreront Xi Jinping et Donald Trump pour conclure (ou non) un accord commercial. Pour en savoir plus à ce sujet et les enjeux qui résident derrière cela pour les marchés, découvrez notre article , publié il y a moins de 24 heures, dans lequel nous évoquons les défis actuels pour les marchés. Malgré une tendance plutôt calme sur les deux plus importantes cryptomonnaies du marché, certains altcoins décollent de manière isolée, notamment le HYPE qui s’approche une nouvelle fois des 50 dollars. Avec une telle fragmentation de la liquidité et le déploiement de nouveaux ETFs, quelles attentes faut-il avoir pour les altcoins du top 10 ? Que ce soit XRP, SOL ou BNB, découvrez nos prédictions en temps réel. Pour aller plus loin sur le sujet : Trump crypto : WLFI lance un airdrop de 1,2 million $ 135 millions $ d’inflows sur Ethereum : le grand retour des baleines ETH SOL, HBAR, HYPER : 3 cryptos pour surfer sur la semaine des ETF
Résumer cet article avec : ChatGPT Perplexity Grok Le projet crypto WLFI, lié à Donald Trump, lance un airdrop de 8,4 millions de jetons. Cela représente près de 1,2 million de dollars. Les premiers utilisateurs du stablecoin USD1 toucheront la récompense. Ce geste marque un tournant dans la stratégie offensive du clan Trump sur le Web3. Plus de détails dans les paragraphes qui suivent. Lisez-nous sur Google News En bref WLFI distribue 1,2 million de dollars en tokens aux premiers utilisateurs du stablecoin USD1. Le projet crypto lié à Trump prépare un écosystème DeFi avec gouvernance, carte et tokenisation. WLFI distribue 1,2 million de dollars à ses premiers utilisateurs World Liberty Financial orchestre une opération musclée pour marquer les esprits : un airdrop de 8,4 millions de tokens WLFI. Ces derniers seront répartis sur six plateformes crypto majeures : KuCoin ; Gate.io ; HTX ; MEXC ; LBank ; Flipster. En revanche, seuls les membres du programme de fidélité USD1 Points Program y accèderont. Aussi, il faudra répondre à deux conditions : détenir ou échanger des paires USD1 sur les exchanges crypto partenaires. Une stratégie crypto qui dépasse le simple airdrop Derrière cet airdrop , une stratégie crypto beaucoup plus vaste se dessine. WLFI prépare en effet une montée en puissance de son écosystème. On entend par cela une gouvernance décentralisée, une carte de débit adossée au stablecoin et des partenariats DeFi. Bientôt, on ajoutera la tokenisation d’actifs physiques comme l’immobilier ou les matières premières à la liste. Le token WLFI servira justement de clé d’entrée à cette architecture, avec un rôle actif dans les votes communautaires. Ce plan crypto repose aussi sur des piliers solides. La conservation des fonds s’appuie sur BitGo. Le fonds MGX, basé à Abu Dhabi, injectera 2 milliards de dollars via USD1 pour un investissement stratégique dans Binance. Ce signal fort démontre donc la capacité du projet crypto à attirer du capital institutionnel. En parallèle, les performances crypto du clan Trump ne passent pas inaperçues. Les memecoins TRUMP et MELANIA ont généré 427 millions de dollars. Pour sa part, WLFI aurait rapporté 550 millions sur l’année. À cela s’ajoutent les 42 millions issus de l’activité de l’USD1 depuis avril. En tout cas, WLFI confirme l’irruption des géants politiques dans la crypto. Airdrop massif, produits DeFi, tokenisation… Trump et ses proches transforment l’expérimentation en empire. Le Web3 devient désormais un terrain de pouvoir.
Selon Bloomberg, la société Fight Fight Fight LLC, à l'origine du memecoin TRUMP, est actuellement en négociations pour racheter les activités américaines de Republic.com. Le jeton, lancé juste avant la seconde investituredentde Donald Trump, pourrait trouver une nouvelle utilité si l'acquisition se concrétise. Selon une source proche du dossier, le projet permettrait aux investisseurs d'utiliser le token TRUMP comme moyen de paiement et actif d'investissement, tout en offrant aux jeunes entreprises du secteur des cryptomonnaies une nouvelle plateforme pour lever des fonds. Une autre source indique que Republic est en discussion avec plusieurs partenaires stratégiques et que les négociations sont en cours. Le timing est très intéressant. En effet, il y a quelques jours à peine, Cryptopolitan annonçait que Coinbase allait acquérir Echo, une plateforme de financement participatif sur la blockchain, pour 375 millions de dollars. Les acteurs du marché anticipent une nouvelle vague d'expansion des entreprises de cryptomonnaies aux États-Unis, portée par un cadre réglementaire plus favorable suite au retour de Trump à la Maison Blanche. Dans ce contexte, Fight Fight Fight semble positionner TRUMP comme un jeton utilisable, et non seulement échangeable. Lancement du jeton TRUMP et mouvements sur le marché Lancée en janvier, la cryptomonnaie TRUMP memecoin a rapidement surpris les analystes après avoir connu une hausse de 2000 % grâce à l'afflux de partisans dudent , tandis que les critiques (notamment les démocrates du Congrès) affirmaient que ce système pouvait créer des conflits d'intérêts, car les investisseurs pouvaient détenir le jeton sans déclaration. Voir aussi : Morgan Stanley estime que les traders de crédit parient sur un défaut de paiement d’Oracle sur sa dette liée à l’IA. Selon les données de CoinGecko, la capitalisation boursière de TRUMP a atteint près de 9 milliards de dollars à son apogée avant de chuter brutalement, et au moment de la publication, elle se situe à environ 1,6 milliard de dollars. Fight Fight Fight a organisé un dîner en mai pour les détenteurs du jeton. Trump y a assisté. Mais la hausse de prix qui a suivi n'a pas duré. L'ascension et la chute de TRUMP ont reflété la tendance générale du marché des memecoins, où les jetons liés aux mèmes, aux célébrités et au buzz ont atteint des valorisations extrêmes fin 2024 et début 2025. Depuis, beaucoup se sont effondrés. Même Dogecoin a perdu près de 60 % de sa valeur depuis décembre, selon les données de CoinGecko. Un autre jeton lié à l'entourage de Trump, le WLFI, émis par une société cofondée par des membres de la famille Trump, a également chuté. Le WLFI a perdu environ 40 % de sa valeur depuis son lancement en septembre. Les investisseurs expliquent ce ralentissement du marché des memecoins par le fait que nombre de ces jetons n'ont aucune valeur intrinsèque ni utilité commerciale. Pourquoi Republic est important dans cet accord Selon son site web, Republic.com a accompagné plus de 3 000 levées de fonds. La plateforme permet aux investisseurs accrédités et particuliers d'acquérir des participations dans des PME. Elle autorise également la tokenisation d'actifs représentant des biens réels tels que des actions et des parts de fonds. La tokenisation des actifs du monde réel gagne trac, et de grandes institutions financières comme BlackRock Inc. sont désormais actives dans ce domaine. Parmi les investisseurs de Republic figurent Galaxy Digital et Binance Labs, la branche capital-risque de Binance. Trump a récemment gracié Changpeng Zhao, cofondateur de Binance. Voir aussi PayPal fait appel à Bilt pour un déploiement de paiements de loyer et d'hypothèque via Venmo début 2026 Si Fight Fight Fight acquiert la division américaine de Republic, l'entreprise pourrait introduire de nouvelles fonctionnalités financières directement liées au TRUMP. Selon , elle pourrait octroyer des subventions en TRUMP, autoriser les investissements dans les startups via cette cryptomonnaie et permettre aux utilisateurs de payer les frais de plateforme en TRUMP. Quelques sites web acceptent déjà le token pour les paiements, et Fight Fight Fight souhaite étendre ce système. La propriété du jeton est concentrée. CIC Digital LLC, liée à la Trump Organization, et Fight Fight Fight détiennent ensemble 80 % de l'offre de jetons. Cette participation est bloquée pendant trois ans. CIC Digital et le propriétaire de Fight Fight Fight perçoivent tous deux une part des revenus générés par les transactions sur le jeton TRUMP. Fight Fight Fight tente également de lever au moins 200 millions de dollars pour créer une société de trésorerie d'actifs numériques qui accumulerait des fonds TRUMP et soutiendrait la liquidité du marché. Le memecoin TRUMP n'est qu'un des nombreux projets de cryptomonnaie liés à la famille Trump. Les fils de Trump, Eric et Don, sont impliqués dans le minage Bitcoin et un projet de stablecoin. Réclamez votre place gratuite dans une communauté exclusive de trading de crypto-monnaies - limitée à 1 000 membres.
Dans la bataille au positionnement Web3 et crypto-économie, Donald Trump avance ses pions envers et contre tout. Dernier événement en date, l’annonce d’un nouvel airdrop sur le projet World Liberty Financial (WLFI). Montant total de l’opération, environ 1,2 million $ soit l’équivalent de 8,4 millions de tokens WLFI. Une opération purement marketing en apparence. Mais les experts annoncent un autre but déguisé. Récompenser la loyauté pour consolider l’influence Officiellement, cette opération d’airdrop s’inscrit dans le cadre d’un programme de fidélité visant à récompenser la loyauté des premiers investisseurs. En tout, la distribution se fera sur les 6 plateformes d’échange suivantes : Gate.io, KuCoin, LBank, HTX Global, Flipster et MEXC. Chaque exchange fixera les critères d’éligibilité ainsi que les modalités du partage. Au vu du timing relativement serrée (seulement 2 mois après lancement ), ce mouvement vise plus à transformer les premiers acheteurs en ambassadeurs. Il faut dire qu’avec la montée en puissance du staking et dans l’environnement hyper concurrentiel des stablecoins, la récompense de la fidélité tend à devenir la norme. Pour le clan Trump, la réalité va un poil plus loin et la loyauté s’achète. Un stablecoin devenu instrument de pouvoir USD1 n’est pas un projet comme les autres. Il est adossé au dollar, conservé par BitGo, et atteint déjà 2,94 milliards de dollars de capitalisation, se plaçant au sixième rang mondial des stablecoins. En réalité, si l’on regarde un peu plus loin que les chiffres, l’USD1 est un instrument d’influence économique. Là où des géants comme Tether ont gagnent chaque part de marché à coup de lobbying et de conformation réglementaire USD1 surf une vague lisse. Un voyage directement propulsé par des leviers liés à la Maison-Blanche et au pouvoir du Bureau Ovale. Par exemple, le fonds d’investissement MGX d’Abu Dhabi s’est servi de l’USD1 pour régler un investissement de 2 milliards $ via Binance. Un signal fort : la monnaie numérique de Trump s’invite désormais dans les circuits institutionnels. Trump, l’entrepreneur devenu banquier du Web3 Selon le Financial Times , les activités crypto du clan Trump auraient généré plus d’un milliard de dollars de bénéfices en un an. Or dans ce résultat, WLFI représente la plus grande part, avec 550 millions de dollars. Même le cours du token WLFI reflète cette trajectoire politique. Certes à 0,14 $, il est en baisse de 70 % depuis son pic de septembre. Mais à l’image de Wall Street Pepe , son jeton mais reste fortement soutenu par la communauté trumpiste, qui voit dans cette devise un symbole identitaire antisystème. Exactement comme Wepe qui tourne en dérision les incohérences de Wall Street et de cette vieille finance en perte de vitesse. Découvrez Wepe Les crypto-actifs représentent un investissement risqué. La crypto, nouveau terrain d’influence politique Trump ne se contente plus de soutenir le secteur. Il le façonne à son image. D’ailleurs, ses memecoins Official Trump et Official Melania Meme ont rapporté plus de 427 millions de dollars, tandis que le stablecoin USD1 a généré 42 millions de profits depuis avril. Two months ago, World Liberty launched the USD1 Points Program to Select Exchanges. The Loyalty platform put power in the hands of early users, who helped drive $500m of growth in the last two months through activities such as purchasing and using USD1 on partner exchanges.… — WLFI (@worldlibertyfi) October 29, 2025 En outre, ces chiffres ne relèvent pas seulement de la réussite financière. Ils traduisent un projet politique : lier puissance économique et idéologie souverainiste. Dans cette vision, la crypto devient un outil d’indépendance face à Wall Street et à la Réserve fédérale. Un empire numérique qui s’étend Avec cet airdrop, WLFI confirme sa volonté d’étendre son réseau. Le programme de points USD1 sera élargi à de nouvelles plateformes et intégré à la DeFi. Tout est pensé pour verrouiller l’écosystème. D’un côté, un stablecoin institutionnel ; de l’autre, un token de gouvernance récompensant les pionniers. Trump ne cache plus son ambition. Il est question d’un nouveau paradigme dans lequel World Liberty Financial devient le pilier d’un système alternatif. Une structure disruptive capable de rivaliser avec les géants du dollar numérique. L’éditorial : Le pouvoir selon Trump Il faut lire cet airdrop non pas comme un simple coup marketing, mais aussi comme un acte politique à part entière. Plus qu’un acte de remerciement, il s’agit plus d’un investissement pour l’engagement utilisateur et l’influence communautaire qui va avec. Si le monde financier change, Trump veut en écrire les règles. Et avec 1,2 million de dollars d’airdrop, il vient de prouver que, dans la crypto comme à la Maison-Blanche, il sait comment motiver ses troupes. Les informations présentées dans cet article ne constituent en aucun cas un conseil en investissement. Elles sont fournies à des fins exclusivement informatives. Le marché des crypto-actifs demeure hautement volatil et comporte des risques significatifs de pertes. Il est recommandé aux lecteurs de n’investir que les montants qu’ils peuvent se permettre de perdre, et de procéder à leurs propres recherches avant toute prise de position sur les marchés. Source: WLFI Pour aller plus loin sur le sujet : American Bitcoin : +163 M $ en BTC pour le clan Trump Trump pardonne CZ et BNB explose : vers un nouveau rallye Trump–Xi : la rencontre qui dope Bitcoin et les marchés européens
Points clés La distribution du token WLFI aura lieu sur six plateformes d'échange, et l'entreprise prévoit d'étendre son programme de points. World Liberty Financial, une initiative crypto bien connue liée à la famille Trump, a dévoilé des plans pour distribuer des tokens d'une valeur de 1.2 milliards de dollars. Les premiers à bénéficier du prochain airdrop de tokens WLFI seront les participants initiaux du projet de stablecoin USD1. Distribution du token WLFI sur six plateformes d'échange World Liberty Financial a indiqué que la distribution initiale du token WLFI sera réalisée sur six plateformes d'échange. Celles-ci incluent Gate.io, KuCoin, LBank, HTX Global, Flipster et MEXC. L'airdrop imminent récompensera les personnes ayant participé au programme de points USD1, lancé il y a deux mois. L'objectif de ce programme est d'encourager l'adoption du stablecoin USD1 de World Liberty, qui est indexé sur le dollar américain. L'entreprise a également prévu des cartes de débit prenant en charge les transactions en stablecoin USD1. Les participants ont gagné des points en tradant des paires USD1 sur les plateformes partenaires et en conservant des soldes de tokens. World Liberty a annoncé son intention d'étendre son programme de points lors de la dernière annonce. De nouvelles plateformes partenaires, des intégrations DeFi et des moyens supplémentaires pour les utilisateurs de gagner et d'échanger des récompenses seront introduits. Le mois dernier, l'entreprise a également annoncé un plan de rachat et de burn de WLFI. Le stablecoin USD1 de World Liberty Financial est actuellement le sixième plus grand stablecoin au monde, avec une capitalisation boursière de 2.94 milliards de dollars. Le rallye du token WLFI va-t-il s'arrêter ? Le token WLFI a déjà connu une hausse significative, augmentant de 20% au cours de la semaine passée et se trouve actuellement sur le point de dépasser les 0.15$. Les volumes d'échange quotidiens ont également augmenté de 27% pour atteindre 266 millions de dollars, indiquant un fort élan haussier. L'analyste crypto Marzell a noté que le token WLFI montre des signes d'accumulation forte après une longue phase de correction. Selon Marzell, la zone de 0.14$-0.15$ sert de support clé et de zone de forte demande, tandis que 0.19$ reste le niveau de résistance critique et de breakout. L'analyste maintient un biais haussier tant que le WLFI reste au-dessus de 0.15$, fixant un objectif au-dessus de 0.19$ pour le prochain mouvement potentiel. Marzell a ajouté que les vendeurs semblent perdre de l'élan, tandis que les acheteurs rechargent leurs positions. Selon lui, un breakout confirmé au-dessus de 0.19$ pourrait signaler le début de la prochaine jambe haussière.
Points clés World Liberty Financial procédera à l'airdrop du token WLFI sur six plateformes d'échange, dont Gate.io, KuCoin, LBank, HTX Global, Flipster et MEXC. L'initiative vise à stimuler l'adoption du stablecoin USD1, désormais le sixième plus important au monde avec une capitalisation boursière de 2,94 milliards de dollars. Le prix du token WLFI a bondi de 20 % au cours de la semaine passée, l’analyste Marzell notant une forte accumulation près du support à 0,15 $, avec un objectif immédiat à 0,19 $. . World Liberty Financial, un projet crypto populaire lié à la famille Trump, a annoncé son intention de distribuer par airdrop 8,4 millions de tokens WLFI d'une valeur de 1,2 milliard de dollars. Les premiers participants au stablecoin USD1 du projet seront les premiers à recevoir la prochaine distribution de tokens WLFI. World Liberty Financial va distribuer le token WLFI via six plateformes d'échange World Liberty Financial a précisé que la distribution initiale du token WLFI se déroulera sur six plateformes d'échange : Gate.io, KuCoin, LBank, HTX Global, Flipster et MEXC. Le prochain airdrop récompensera les utilisateurs participant au programme de points USD1, lancé il y a deux mois. Ce programme vise à encourager l’adoption du stablecoin USD1 de World Liberty, adossé au dollar américain. L’entreprise a également prévu des cartes de débit prenant en charge les transactions en stablecoin USD1. Les participants ont gagné des points en tradant des paires USD1 sur les plateformes partenaires et en maintenant des soldes de tokens. Il y a deux mois, World Liberty a lancé le programme de points USD1 sur des plateformes d'échange sélectionnées. La plateforme de fidélité a donné du pouvoir aux premiers utilisateurs, qui ont contribué à une croissance de 500 millions de dollars au cours des deux derniers mois grâce à des activités telles que l'achat et l'utilisation d'USD1 sur les plateformes partenaires.… — WLFI (@worldlibertyfi) 29 octobre 2025 Lors de la dernière annonce, World Liberty a dévoilé son intention d’étendre son programme de points, en introduisant de nouvelles plateformes partenaires, des intégrations DeFi et des moyens supplémentaires pour les utilisateurs de gagner et d’échanger des récompenses. Le mois dernier, l’entreprise a également annoncé un plan de rachat et de burn de WLFI. Le stablecoin USD1 de World Liberty Financial est actuellement le sixième plus grand stablecoin au monde, avec une capitalisation boursière de 2,94 milliards de dollars. Le rallye du token WLFI va-t-il s’arrêter ? Le token WLFI a déjà connu une forte hausse, grimpant de 20 % au cours de la semaine passée et vise actuellement une cassure au-dessus de 0,15 $. Les volumes d’échange quotidiens ont également augmenté de 27 % pour atteindre 266 millions de dollars, soulignant une forte dynamique haussière. L’analyste crypto Marzell a noté que le token WLFI montre des signes de forte accumulation après une phase de correction prolongée. Article connexe : Binance.US va lancer le trading du Trump Family Token au milieu de la controverse sur la grâce de CZ Selon Marzell, la zone de 0,14 à 0,15 $ constitue un support clé et une zone de forte demande, tandis que 0,19 $ reste le niveau de résistance et de cassure critique. $WLFI consolide autour de 0,15 $, montrant des signes de forte accumulation après plusieurs semaines de correction. 📊 Niveaux clés — Support : 0,14–0,15 $ (zone de valeur basse, forte zone de demande) — Résistance : 0,19 $ (point de contrôle & niveau de cassure) — Biais : haussier tant que 0,15 $ tient. —… pic.twitter.com/LtsihcFxqy — Marzell (@MarzellCrypto) 28 octobre 2025 L’analyste maintient un biais haussier tant que WLFI reste au-dessus de 0,15 $, fixant un objectif au-dessus de 0,19 $ pour le prochain mouvement potentiel. Marzell ajoute que les vendeurs semblent perdre de la vigueur, tandis que les acheteurs reprennent position. Selon lui, une cassure confirmée au-dessus de 0,19 $ pourrait signaler le début de la prochaine jambe haussière. next
Résumez le contenu à l'aide de l'IA ChatGPT Grok World Liberty Financial, un projet lié à Donald Trump, a annoncé la distribution de 8,4 millions de WLFI coins afin de récompenser les premiers participants à son programme de fidélité USD1. Lancé il y a seulement deux mois, le programme de points USD1 a rapidement dépassé un volume de transactions de 500 millions de dollars, positionnant USD1 comme le sixième plus grand stablecoin par capitalisation boursière. Distribution de WLFI Coin sur six plateformes d'échange Dans une annonce récente sur leur compte X, World Liberty Financial a précisé que la première distribution de coins ciblerait les premiers utilisateurs effectuant des transactions sur les paires USD1 ou maintenant un solde spécifié. La distribution aura lieu sur six plateformes d'échange de cryptomonnaies : Gate.io, KuCoin, LBank, HTX Global, Flipster et MEXC. Les détails concernant les utilisateurs qui recevront l'AirDrop, ainsi que le calendrier de ces distributions, seront déterminés individuellement par chaque plateforme. Avec cette initiative, World Liberty Financial vise à élargir son écosystème de fidélité et à accélérer l'adoption du stablecoin USD1. L'entreprise a souligné que le WLFI coin servirait non seulement de jeton de récompense, mais aussi d'outil de gouvernance, renforçant ainsi la participation de la communauté. USD1 grimpe rapidement à la cinquième place des stablecoins Le programme de points USD1 a généré un élan remarquable sur le marché des cryptomonnaies, atteignant un volume de transactions d'un demi-milliard de dollars en seulement deux mois. Les participants ont accumulé des points en achetant ou en échangeant des USD1 coins sur les plateformes partenaires. Ces activités ont augmenté l'offre en circulation du stablecoin et ont préparé le terrain pour la distribution du WLFI coin. World Liberty Financial prévoit d'introduire davantage de cas d'utilisation pour USD1 lors des prochaines phases de la campagne de fidélité. L'entreprise a annoncé son intention de renforcer l'écosystème du coin grâce à des intégrations DeFi, de nouvelles paires de trading et des opportunités de récompenses supplémentaires. Selon les données de CoinMarketCap, USD1 occupe désormais la cinquième place dans le segment des stablecoins par valeur de marché. Le Tether USDT est en tête de liste, suivi par le USDC de Circle, le USDe d'Ethena et le Dai.
Un élu démocrate de Californie souhaite interdire à Donald Trump, à sa famille et aux membres du Congrès de faire du trading de cryptomonnaies ou d’actions. Ro Khanna, représentant du 17ᵉ district de Californie et vice-président du Congressional Progressive Caucus, a profité d’une intervention sur MSNBC pour alerter sur les “conflits d’intérêts évidents” entre Trump et la crypto, à cause du projet de son fils, World Liberty Financial (WLFI). Il a aussi dénoncé la grâce présidentielle accordée à Changpeng “CZ” Zhao, cofondateur de Binance, qu’il qualifie de “corruption flagrante”. “On parle d’un milliardaire étranger impliqué dans du blanchiment d’argent”, a déclaré Khanna à propos de CZ, avant d’ajouter : “il demande une grâce présidentielle à Donald Trump après avoir, en gros, financé des groupes terroristes.” CZ a récemment répondu à des accusations similaires de la sénatrice Elizabeth Warren, en affirmant qu’elle “ne parvenait pas à vérifier ses faits”. Il avait plaidé coupable d’une infraction pour violation du Bank Secrecy Act, après avoir omis de mettre en place un programme efficace de lutte contre le blanchiment d’argent (AML) chez Binance. Khanna estime que la clémence envers CZ serait liée au soutien financier apporté par Binance à WLFI, une théorie déjà avancée par la représentante Maxine Waters. “ Ce qu’il fait, c’est dire : Je vais soutenir World Liberty, l’entreprise de cryptomonnaie du fils du président, sur laquelle ils gagnent des millions de dollars pendant que Donald Trump est au pouvoir. Et Donald Trump lui accorde un pardon, alors qu’il finance la stablecoin de Donald Trump ” Donald Trump a déjà été critiqué pour ses liens présumés avec WLFI, mais son fils Eric Trump nie toute implication de son père. Dans une interview en septembre, il a précisé que son père “dirige un pays. Il n’est impliqué dans aucune de nos affaires, sous aucune forme”. Le représentant Khanna explique les raisons qui l'ont poussé à présenter cette nouvelle législation. Source: Ro Khanna Khanna, de son côté, justifie son futur projet de loi. Bien qu’il n’en ait pas encore révélé les détails, il a clairement annoncé vouloir interdire “à tout élu de détenir des cryptomonnaies ou d’accepter de l’argent étranger”. Selon les registres officiels, sa proposition n’a pas encore été déposée au Congrès. Interdire le trading aux responsables publics La question de savoir si les élus devraient être autorisés à investir dans les actions ou les cryptos fait débat depuis longtemps aux États-Unis. Le sujet est au cœur d’un projet de loi bipartite actuellement à l’étude, connu sous le nom de Congressional Stock Trading Bill, qui devrait être soumis au vote prochainement. Cependant, la situation reste complexe. Bien que Khanna critique les liens présumés de Trump avec la crypto, il n’est pas exempt de tout reproche : il détient lui-même d’importants intérêts financiers en Bourse, soulevant ainsi des accusations d’hypocrisie. D’après les données de Quiver Quant, Khanna a réalisé en 2025 plus de 80,3 millions de dollars de volume de transactions boursières. Depuis son élection en 2017 comme représentant de Californie, il aurait effectué plus de 35 000 transactions, pour un volume total supérieur à 580 millions de dollars, principalement dans les secteurs de la finance, des technologies de l’information et de la santé. Historique des transactions boursières du représentant Khanna. Source: Quiver Quant
Résumer cet article avec : ChatGPT Perplexity Grok Un législateur démocrate sort l’artillerie lourde contre les activités crypto du président américain. Ro Khanna propose d’interdire purement et simplement à Donald Trump, sa famille et tous les élus de négocier cryptos et actions. Une initiative qui ravive le débat sur les conflits d’intérêts au sommet de l’État américain. Lisez-nous sur Google News En bref Le représentant démocrate Ro Khanna prépare un projet de loi pour interdire aux élus américains de négocier des actions et des cryptomonnaies. Trump est visé pour ses liens présumés avec World Liberty Financial, le projet crypto de son fils, qui aurait généré des millions de dollars. La grâce accordée à Changpeng Zhao, fondateur de Binance, alimente les accusations de « corruption flagrante ». Ce projet rejoint le COIN Act du sénateur Adam Schiff, visant spécifiquement à empêcher la famille Trump « d’exploiter financièrement » les cryptomonnaies. Le Congrès veut couper Trump de ses activités dans le secteur crypto Ro Khanna, représentant démocrate de Californie et vice-président du Congressional Progressive Caucus, a lancé une charge frontale contre Donald Trump lors d’une intervention sur MSNBC. Le législateur dénonce ce qu’il considère comme une « corruption flagrante » : la grâce présidentielle accordée à Changpeng Zhao , cofondateur de Binance. « Vous avez un milliardaire étranger qui se livrait essentiellement à du blanchiment d’argent », a martelé le représentant californien. Pour lui, le timing ne trompe pas. CZ avait plaidé coupable en 2023 pour violation de la loi bancaire américaine, ayant failli à mettre en place un programme efficace de lutte contre le blanchiment d’argent chez Binance. Puis Binance a soutenu financièrement WLFI. Et finalement, Trump l’a gracié . Le lien de cause à effet semble évident pour Khanna. Il affirme que CZ finance désormais le stablecoin de la société du fils du président, qui génère « des millions de dollars sous la présidence de Donald Trump ». Cette accusation fait écho aux inquiétudes exprimées par la représentante Maxine Waters. Pourtant, Eric Trump a toujours nié catégoriquement toute implication de son père dans le projet, rappelant en septembre dernier que le président « dirige une nation » et n’a « aucun lien » avec leurs activités commerciales. De son côté, Ro Khanna a conclu son intervention par un appel sans équivoque : interdire à tout fonctionnaire élu de détenir des cryptos ou d’accepter de l’argent étranger. Une position qui s’inscrit dans une offensive plus large menée par les Démocrates pour encadrer l’influence financière des dirigeants politiques. Dans la même lignée, le sénateur Adam Schiff est allé encore plus loin avec le COIN Act, un projet de loi bien plus strict qui interdirait aux présidents, vice-présidents et à leurs proches d’émettre, de posséder ou de soutenir des cryptos pendant toute la durée de leur mandat — et jusqu’à deux ans après leur départ du pouvoir. Quand le gardien du temple a lui-même les mains dans le pot de confiture L’ironie de cette croisade anti-trading ne manque pas de piquant. Car si Khanna dénonce les conflits d’intérêts présumés de Trump, ses propres activités boursières soulèvent des questions embarrassantes. Les données de Quiver Quant révèlent que le député a effectué pour 80,3 millions de dollars d’échanges d’actions en 2025 seulement. Depuis son élection en 2017, Khanna a réalisé plus de 35 000 transactions pour un volume dépassant 580 millions de dollars. Ses secteurs de prédilection ? La finance, les technologies de l’information et la santé. Des domaines sur lesquels, en tant que législateur, il peut potentiellement exercer une influence. Cette hypocrisie potentielle affaiblit considérablement la portée de son message. Le projet de loi bipartisan sur le commerce des actions, actuellement en discussion au Congrès, illustre la complexité du débat. Faut-il autoriser les représentants du gouvernement à investir sur les marchés financiers ? La question divise depuis longtemps, mais les cryptos ajoutent une dimension explosive à ce vieux dilemme éthique. Selon les documents gouvernementaux, la proposition de Khanna n’a pas encore été officiellement déposée. Et les chances qu’elle soit adoptée restent minces, compte tenu de la majorité républicaine dans les deux chambres. Cependant, cette offensive démocrate marque un tournant dans la guerre politique autour des activités crypto de la présidence Trump .
Quel est le sens de la grâce présidentielle accordée à Zhao Changpeng par Trump ? Rédigé par : Gyroscope Finance La semaine dernière, une nouvelle a provoqué une onde de choc dans l'industrie. Le 22 octobre, le président Trump a soudainement signé à la Maison Blanche un décret de grâce pour CZ, et l'a rendu public le lendemain. La porte-parole de la Maison Blanche, Caroline Leavitt, a publié une déclaration indiquant : « Le président a exercé le pouvoir que lui confère la Constitution pour gracier M. CZ, qui avait été poursuivi dans le cadre de la guerre menée par l'administration Biden contre les cryptomonnaies. La guerre de l'administration Biden contre les cryptomonnaies est terminée. » Bien que des rumeurs circulaient déjà en mars de cette année selon lesquelles Zhao Changpeng sollicitait une grâce, la confirmation de la nouvelle a tout de même suscité une réaction enthousiaste sur le marché. Avec la grâce accordée à la figure la plus influente du monde chinois des cryptos, le BNB a immédiatement grimpé, BTC et ETH ont également connu une hausse rare et coordonnée, et les spéculations sur le retour de Binance aux États-Unis ont refait surface. Après avoir payé une amende colossale et purgé une peine de prison, puis obtenu la grâce et être devenu l'invité de plusieurs présidents, le parcours sinueux de Zhao Changpeng ajoute une nouvelle légende à l'univers des cryptomonnaies. Revenons en novembre 2023, lorsque Binance a conclu un accord avec le Département de la Justice des États-Unis (DOJ), la Commodity Futures Trading Commission (CFTC), l'Office of Foreign Assets Control (OFAC) et le Financial Crimes Enforcement Network (FinCEN) concernant les enquêtes sur l'enregistrement, la conformité et les sanctions historiques de Binance. Zhao Changpeng a finalement reconnu avoir enfreint le Bank Secrecy Act, l'International Emergency Economic Powers Act et le Commodity Exchange Act, en menant des activités de transfert de fonds sans licence, en conspirant et en effectuant des transactions interdites. Il a payé une amende record de 4,368 milliards de dollars, la plus importante jamais infligée par le FinCEN, pour racheter sa liberté. À l'époque, la plupart des analyses du marché estimaient que Zhao Changpeng, en tant que dirigeant chinois de la plus grande plateforme d'échange mondiale, était victime de persécution politique. Cette persécution était effectivement perceptible : la peine initialement prévue pour Zhao Changpeng était de 18 mois, puis le DOJ a tenté de la porter à 3 ans, mais après avoir plaidé coupable et sous la pression de l'opinion publique, il a finalement été condamné à 4 mois de prison par le tribunal fédéral de Seattle en avril 2024. Selon Zhao Changpeng, le jour de son incarcération, il a subi une fouille corporelle humiliante et son premier compagnon de cellule était un double meurtrier ; il a qualifié cette période de « moment le plus difficile de sa vie ». En septembre 2024, Zhao Changpeng a été libéré après avoir purgé sa peine. Mais il est évident que cette expérience carcérale lui a apporté bien plus que de la souffrance : elle lui a fait prendre conscience que si la cryptomonnaie n'a pas de frontières, la loi, elle, en a ; même l'industrie crypto doit apprendre à survivre dans les interstices de la politique. De plus, en tant que dirigeant de la plus grande plateforme d'échange crypto, son identité chinoise reste délicate aux yeux des États-Unis, avec des connotations politiques implicites et une marque indélébile de « non-appartenance », même si, du point de vue de la nationalité, Zhao Changpeng est entièrement canadien. Dans ce contexte, il devient crucial de trouver un « grand arbre » sous lequel s'abriter. C'est peut-être pour cette raison qu'après sa libération en septembre, Zhao Changpeng s'est rendu fréquemment aux Émirats arabes unis et à Hong Kong, rencontrant les régulateurs et commençant à reconstruire son identité politique. Après l'élection présidentielle de novembre et l'arrivée au pouvoir de Trump, un nouveau chapitre s'est ouvert pour la crypto, et Binance ainsi que Zhao Changpeng semblent avoir trouvé une opportunité. En mars 2025, Binance a annoncé avoir reçu un investissement de 2 milliards de dollars du fonds souverain MGX d'Abu Dhabi, soit 5 % du capital pour 2 milliards de dollars. Au vu des revenus annuels de Binance dépassant les 10 milliards de dollars, on ne peut qualifier cela que de « geste amical ». Plus subtil encore, le règlement de cette transaction de 2 milliards de dollars s'est fait en USD1, le stablecoin lancé par le projet WLFI de la famille Trump. Peu après, Zhao Changpeng a publié sur les réseaux sociaux une photo avec Zach Witkoff, cofondateur de WLFI, et deux semaines plus tard, USD1 a été officiellement lancé sur BNB Chain, bénéficiant d'une large promotion sur la chaîne Binance. En avril, Zhao Changpeng a officiellement soumis une demande de grâce présidentielle à l'administration Trump. Le signal du tournant est arrivé en septembre, lorsque CZ a modifié la description de son compte X de « ex-@binance » à « @binance », alimentant les spéculations sur son retour. Les capitaux ont été les premiers à réagir : le 22 octobre, les plateformes américaines réglementées Coinbase et Robinhood ont ouvert la négociation du BNB, la finance traditionnelle ne craignant plus Binance, et BNB a fait son entrée sur le marché financier américain. Finalement, le 23 octobre de cette année, Trump a signé un décret de grâce, annulant la condamnation pénale de Zhao Changpeng. Petite explication sur la grâce présidentielle : lors de la Convention constitutionnelle américaine de 1787, le président s'est vu accorder le pouvoir de gracier ou de commuer la peine de criminels dans certaines circonstances. Les personnes graciées ne portent plus de casier judiciaire fédéral et les restrictions pénales peuvent être levées. Ce pouvoir est confirmé par l'article II, section 2 de la Constitution américaine : à l'exception des cas d'impeachment, le président peut accorder des sursis et des grâces pour les infractions fédérales. En théorie, le champ d'application de la grâce présidentielle est donc très large, à l'exception des personnes destituées par le Congrès ; toute personne ayant enfreint la loi fédérale peut être graciée. À ce jour, Trump a signé plus de 40 décrets de grâce concernant environ 237 personnes, Zhao Changpeng en faisant partie. En termes d'impact, puisque Zhao Changpeng avait déjà purgé sa peine et payé son amende, la grâce n'apporte pas de réduction de peine effective, ni la possibilité de récupérer l'amende payée ; sa portée est donc avant tout symbolique. Grâce à la grâce présidentielle, le casier judiciaire de Zhao Changpeng est effacé, il retrouve une réputation intacte et peut mieux gravir les échelons politiques et accéder à de nouvelles ressources. Dans une interview avec Caixin en septembre, Zhao Changpeng a également mentionné qu'il consacrerait plus d'énergie à son fonds d'investissement YZi Labs et qu'il avait déjà été invité à servir de conseiller officiel en crypto pour plusieurs gouvernements. Une réputation sans tache peut manifestement lui ouvrir une carrière politique plus prometteuse. Il y a seulement trois jours, Zhao Changpeng a participé à la deuxième réunion en présentiel du Comité national de la blockchain et des cryptomonnaies du Kirghizistan, aux côtés du président Sadyr Japarov. D'autre part, la décision de justice précédente stipulait que Zhao Changpeng ne pouvait pas participer à la gestion ou aux décisions de Binance pendant trois ans après sa libération, et que Binance devait être supervisé par un responsable de la conformité indépendant, qui rendait compte directement au DOJ. En d'autres termes, toutes les activités de Binance étaient sous la surveillance du DOJ. Bien que la supervision ne puisse être levée par la grâce, la première restriction sur la gestion directe pourrait l'être, permettant à Zhao Changpeng de reprendre la direction de Binance. En fait, compte tenu des controverses actuelles autour de Binance, le marché est loin d'être favorable à l'actuel CEO Richard Teng. Plus encore, Binance pourrait revenir sur le marché américain, ouvrant la porte à une double liquidité, ce qui aurait un impact majeur sur la configuration actuelle des plateformes d'échange américaines. Pour l'industrie, le retour du « patron » est sans conteste une excellente nouvelle, non seulement parce qu'il confirme une fois de plus le soutien de Trump à l'industrie crypto, mais aussi parce qu'il redonne confiance au secteur. Après l'annonce, le BNB a bondi de 7 %, repassant au-dessus de 1 100 dollars, entraînant également les principales cryptomonnaies à la hausse : Bitcoin est revenu à 110 000 dollars, Ethereum a atteint 4 000 dollars. L'effet domino a été rapide : premièrement, les MEME coins sur Binance ont connu une hausse généralisée à court terme, le Binance Life ayant grimpé de 0,23 à 0,28 dollar (+20 %) ; deuxièmement, les entreprises cotées détenant du BNB dans leur trésorerie ont profité de cette hausse, comme BNB Network Company et Nano Labs. Même le WLFI de Trump en a largement bénéficié, atteignant 0,14 dollar, tandis que la société cotée ALT5 Sigma, détentrice du trésor WLFI, a bondi de plus de 13 % en 24 heures. Bien sûr, il est impossible de satisfaire tout le monde, et les opposants à Trump sont particulièrement mécontents. En retraçant la chronologie, des rencontres fréquentes avec les Émirats arabes unis à l'investissement d'Abu Dhabi, du selfie avec le cofondateur de WLFI au soutien du stablecoin, de la demande de grâce à son obtention, on voit clairement le fil conducteur reliant Zhao Changpeng au monde politique. Pour le dire simplement, c'est en montant à bord du « grand navire » de Trump que Zhao Changpeng a pu retrouver une réputation intacte. Fait intéressant, Trump a justifié la grâce en déclarant : « Je ne le connais pas, mais beaucoup disent qu'il est innocent et qu'il a été persécuté par l'administration Biden. » On ignore s'il s'agit d'une précaution publique ou d'une sincérité, mais même si c'est vrai, cela montre simplement que Zhao Changpeng est proche de l'entourage du président, et non qu'il ne connaît vraiment pas Trump. Plus surprenant encore, juste après la grâce, Trump a déclaré à la Maison Blanche qu'en raison du blocage du gouvernement causé par les démocrates, il y avait un manque de fonds pour l'armée, et qu'un « ami formidable qui souhaite rester anonyme » avait envoyé un chèque de 130 millions de dollars pour combler ce déficit. Cela a alimenté les rumeurs selon lesquelles cet ami serait Zhao Changpeng, certains estimant que c'est en offrant une contribution politique que Zhao Changpeng a pu obtenir la grâce. La véracité de cette histoire de solde militaire reste à prouver, mais le lobbying est une pratique courante à Wall Street. Selon le média politique Politico, et d'après les informations de la société de lobbying Checkmate Government Relations, Binance a engagé fin septembre Ches McDowell, un ami proche de Donald Trump Jr., pour faire du lobbying à la Maison Blanche et au Trésor sur les questions de politique financière et de « recours administratif », pour un montant mensuel de 450 000 dollars. L'avocate spécialisée en cryptomonnaies Teresa Goody Guillén a également révélé avoir reçu au total 290 000 dollars de Binance et Zhao Changpeng cette année pour des activités de lobbying. En réalité, connaissant le tempérament d'homme d'affaires de Trump, on comprend que la grâce accordée à Zhao Changpeng implique forcément d'importants enjeux financiers et de ressources. Sur ce point, les adversaires politiques de Trump n'ont pas tardé à l'attaquer, l'accusant d'ignorer les lois et de transformer la grâce en une transaction purement intéressée. Selon AXIOS, les démocrates du Sénat américain prennent des mesures pour condamner officiellement la décision de Trump de gracier Zhao Changpeng. Certains républicains du Sénat ont également critiqué cette grâce, tandis que les démocrates tentent d'en faire un rare sujet de coopération bipartisane pour exprimer leur opposition à la décision de la Maison Blanche. Les attaques des démocrates contre Trump ne datent pas d'hier, et il est peu probable que cela ait un impact significatif cette fois-ci. Pour revenir au sujet principal, le chemin de la conformité de Zhao Changpeng, bien qu'il marque une étape, est loin d'être terminé. Bien qu'il ait bénéficié de la faveur du gouvernement actuel, prendre parti comporte aussi de grands risques ; une vie politique complexe ne fait que commencer, et c'est aussi la raison pour laquelle les entrepreneurs chinois à l'étranger doivent « naviguer habilement entre les camps ». Après sa libération, Zhao Changpeng a rapidement exprimé sa gratitude envers Trump, déclarant qu'il « ferait tout son possible pour aider les États-Unis à devenir la capitale mondiale des cryptomonnaies et à promouvoir le développement du Web3 à l'échelle mondiale ». Le point d'ancrage de ses propos est les États-Unis, ce qui signifie que Zhao Changpeng sait lui-même que, quelle que soit la forme de son retour, le plus grand bénéficiaire doit et sera les États-Unis.
Selon Jinse Finance, d'après la surveillance de l'analyste Emmett Gallic, le projet crypto World Liberty Fi de la famille Trump a brûlé 175 millions de WLFI, d'une valeur de 26,72 millions de dollars, aux premières heures d'aujourd'hui.
Selon un rapport de Jinse Finance, d'après la surveillance de Lookonchain, le conseiller WLFI Ogle a acheté 4,87 millions de VALOR pour 10 000 dollars et les a ajoutés au pool de liquidité Meteora (VALOR-USD1).
Les baleines crypto intensifient l'accumulation de plusieurs altcoins après la publication des données de l'IPC américain de septembre, le 24 octobre. L'inflation est ressortie plus faible que prévu à 3,0 % contre une prévision de 3,1 %. Ce chiffre d'inflation plus doux a renforcé les attentes de baisse des taux et ravivé la confiance dans les actifs à risque. Alors que les marchés anticipent un possible assouplissement de la politique de la Fed, les baleines se tournent discrètement vers trois altcoins qu'elles s'attendent à voir mener le prochain rallye, ou du moins un rebond. Pepe (PEPE) Alors que les marchés penchent vers une position plus accommodante de la Fed, les baleines semblent réallouer du capital vers certains altcoins susceptibles de profiter d'une liquidité plus facile — et Pepe (PEPE) en fait partie. Le token a progressé de plus de 6 % sur une semaine. Au cours des dernières 24 heures, les baleines PEPE ont augmenté leurs avoirs de 155,75 trillions à 156,13 trillions de tokens. Cela représente environ 0,38 trillion de PEPE supplémentaires, soit environ 2,7 millions de dollars au prix actuel du PEPE. Cette accumulation discrète suggère que les baleines crypto se positionnent tôt. D'autant plus que la probabilité d'une baisse des taux en octobre dépasse 98 %, alimentant les attentes d'un soulagement plus large du marché. PEPE Whales : Santiment Vous souhaitez plus d’analyses de tokens comme celle-ci ? Inscrivez-vous à la newsletter quotidienne de l’éditeur Harsh Notariya ici. Sur le graphique 4 heures, le prix du PEPE consolide à l'intérieur d'un triangle symétrique depuis le 13 octobre. Il s'agit d'une structure connue pour précéder des cassures brusques. Un mouvement net au-dessus de 0,0000072 $ pourrait déclencher un rallye de 12 % vers 0,0000079 $. Cela placerait Pepe parmi les altcoins que les baleines crypto achètent avec conviction technique. Un autre signal soutenant cette perspective est un possible croisement doré entre l’EMA 20 périodes (ligne rouge) et l’EMA 50 périodes (ligne orange). L’EMA, ou moyenne mobile exponentielle, suit la direction récente du prix en accordant plus de poids aux chandeliers récents. Lorsque l’EMA court terme croise au-dessus de la longue, cela montre que la dynamique se déplace en faveur des acheteurs. C’est un signal que les baleines altcoins recherchent souvent pour confirmer un retournement de tendance. PEPE Price Analysis : TradingView Cependant, PEPE reste une opération volatile. Une chute sous 0,0000069 $ pourrait exposer le niveau de 0,0000064 $. Mais tant que les baleines accumulent et que le prix reste dans le schéma de resserrement, Pepe demeure l’une des pièces que les baleines achètent sur la force plutôt que par peur. PancakeSwap (CAKE) Après PEPE, un autre token qui attire l’attention des baleines crypto est PancakeSwap (CAKE). Il s’agit d’un actif DeFi souvent privilégié lors d’une amélioration du sentiment de marché. Les baleines semblent avoir modifié leurs positions peu après le rebond de l’appétit pour le risque lié à l’IPC, augmentant leurs avoirs de 44,87 millions de CAKE le 24 octobre à 55,05 millions, soit un gain net de plus de 10,18 millions de CAKE. Au prix actuel de 2,69 $, cela représente environ 27,3 millions de dollars de nouvelle accumulation, suggérant une conviction croissante que le ton plus doux du marché pourrait alimenter une nouvelle hausse. CAKE Whales : Santiment D’un point de vue technique, la structure de CAKE renforce cet optimisme. Entre le 10 et le 24 octobre, le token a formé un creux plus élevé alors que l’indice de force relative (RSI) — qui mesure la force des achats par rapport aux ventes — a atteint un creux plus bas. Cette divergence haussière cachée signale souvent la poursuite de la tendance, ce qui signifie que la tendance haussière plus large que CAKE maintient depuis un an (plus de 50 % de hausse) pourrait rester intacte. Actuellement négocié autour de 2,69 $, CAKE fait face à une forte résistance à 2,72 $, un niveau qui a limité chaque tentative de rallye depuis le 22 octobre. Si les acheteurs parviennent à clôturer une bougie au-dessus de ce seuil, la dynamique pourrait s’étendre vers 3,45 $, la prochaine grande zone de résistance sur le graphique journalier. CAKE Price Analysis : TradingView La tendance du RSI soutient cette vision, avec des lectures qui repartent à la hausse alors que la force d’achat se reconstruit. Cependant, si le token ne parvient pas à rester au-dessus de 2,27 $, la configuration haussière s’affaiblit. L’impatience des baleines ou la pression du marché des altcoins pourrait alors faire glisser CAKE vers 1,54 $. Il s’agit d’une zone de fort support, testée pour la dernière fois lors du krach du Black Friday. Pour l’instant, la combinaison de la hausse des avoirs des baleines, de la conviction on-chain stable et de la stabilité technique maintient PancakeSwap sur la liste restreinte des altcoins que les baleines crypto achètent pendant cette période de refroidissement post-IPC. World Liberty Financial (WLFI) Le dernier nom sur le radar des baleines semble être World Liberty Financial (WLFI) — un token à connotation politique souvent associé aux thèmes de marché liés à Trump. Les baleines ont fortement augmenté leur exposition à WLFI, portant leurs avoirs à 18,78 % de plus au cours des dernières 24 heures, pour un total de 12,13 millions de WLFI. Au prix actuel de 0,13 $, cela représente environ 1,57 million de dollars de tokens ajoutés aux portefeuilles en une seule journée. WLFI Whales : Nansen Cette frénésie d’achats fait suite non seulement à la publication d’un IPC américain plus faible, mais aussi à l’anticipation d’une éventuelle rencontre Trump–Xi Jinping attendue cette semaine. Cela pourrait alimenter davantage la spéculation autour des altcoins à thématique politique et narrative. Le timing de cette accumulation suggère que les baleines pourraient se positionner pour un rebond du sentiment lié à ces catalyseurs macroéconomiques. Sur le graphique 4 heures, WLFI montre même de premiers signes techniques de reprise. Entre le 13 et le 25 octobre, le prix a formé un creux plus bas. L’indice de force relative (RSI) — qui mesure l’équilibre entre la dynamique d’achat et de vente — a formé un creux plus élevé. Cette divergence haussière indique que les vendeurs pourraient perdre de la force, et que les acheteurs commencent à intervenir. Actuellement négocié autour de 0,133 $, le prix du WLFI fait face à une première résistance à 0,14 $. Une cassure nette au-dessus de ce niveau pourrait confirmer la force de la dynamique et propulser les prix vers 0,15 $, impliquant un rallye de 15 % à court terme. Cependant, WLFI reste volatile. Si le prix ne parvient pas à maintenir le support de 0,13 $, une chute vers 0,11 $ reste probable. WLFI Price Analysis : TradingView Pour l’instant, la combinaison de nouveaux achats de baleines, de la spéculation sur des événements politiques et d’une tendance RSI en amélioration fait de WLFI l’un des altcoins les plus intrigants que les baleines crypto achètent après la publication de l’IPC — et potentiellement le pari le plus axé sur la narration des trois.
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